Bouvines
Bouvines est le village de quelques 700 âmes où j'habite depuis 1993.
Historique de Bouvines.
Bouvines est situé sur la rive droite de la Marque,
Petit village agricole, Bouvines est célèbre par la victoire de Philippe-Auguste en 1214, et par son église, dont les vitraux retracent l'histoire de la bataille.
Mais l’histoire de Bouvines ne commence pas en 1214.
Dans un diplôme de Charles le Chauve de 899 est mentionné un lieu appelé Bovingole, l’actuelle Bouvines.
On trouve également mention de son nom en 1002 (Villa bovinas), dans la charte du comte de Flandre.
La commune est le site d’un point de passage naturel par lequel passait la voie romaine d'Arras à Tournai.
Un pont (sur la rivière La Marque) y est très tôt édifié pour permettre le passage vers Lille. Un octroi y est obligatoire qui sera supprimé en 1783. Les pilotis de ce pont ont été retrouvé en 1830.
Sur le sol de Bouvines des tombes gauloises et mérovingiennes ont été découvertes. Ce cimetière indique l’ancienneté de l’occupation humaine.
En 1214, Bouvines est le théâtre de la confrontation opposant Philippe-Auguste, roi de France, à la coalition menée par Jean sans Terre, roi d’Angleterre, Otton IV, empereur germanique et Ferrand, comte de Flandre. Le dimanche 27 juillet, la bataille s’engage et voit la victoire des troupes françaises. Cette date et ce lieu vont être utilisés comme symbole de l’unité et de l’identité françaises.
Cette bataille est rappelée à de nombreuses reprises dans le village.
En 1745, Louis XV a séjourné dans la commune avant la bataille de Fontenoy.
De 1872 à 1934, Félix Dehau est maire du lieu et il est commanditaire et ordonnateur de nombreux monuments commémoratifs. Parmi ceux-ci, on portera une attention toute particulière aux 21 vitraux de l’église Saint-Pierre, réalisés entre 1887 et 1905, et qui représentent des événements de la bataille de Bouvines. L’ensemble de ces vitraux a coûté cinq fois le prix de l’église elle-même.
Historique de Bouvines.
Bouvines est situé sur la rive droite de la Marque,
Petit village agricole, Bouvines est célèbre par la victoire de Philippe-Auguste en 1214, et par son église, dont les vitraux retracent l'histoire de la bataille.
Mais l’histoire de Bouvines ne commence pas en 1214.
Dans un diplôme de Charles le Chauve de 899 est mentionné un lieu appelé Bovingole, l’actuelle Bouvines.
On trouve également mention de son nom en 1002 (Villa bovinas), dans la charte du comte de Flandre.
La commune est le site d’un point de passage naturel par lequel passait la voie romaine d'Arras à Tournai.
Un pont (sur la rivière La Marque) y est très tôt édifié pour permettre le passage vers Lille. Un octroi y est obligatoire qui sera supprimé en 1783. Les pilotis de ce pont ont été retrouvé en 1830.
Sur le sol de Bouvines des tombes gauloises et mérovingiennes ont été découvertes. Ce cimetière indique l’ancienneté de l’occupation humaine.
En 1214, Bouvines est le théâtre de la confrontation opposant Philippe-Auguste, roi de France, à la coalition menée par Jean sans Terre, roi d’Angleterre, Otton IV, empereur germanique et Ferrand, comte de Flandre. Le dimanche 27 juillet, la bataille s’engage et voit la victoire des troupes françaises. Cette date et ce lieu vont être utilisés comme symbole de l’unité et de l’identité françaises.
Cette bataille est rappelée à de nombreuses reprises dans le village.
En 1745, Louis XV a séjourné dans la commune avant la bataille de Fontenoy.
De 1872 à 1934, Félix Dehau est maire du lieu et il est commanditaire et ordonnateur de nombreux monuments commémoratifs. Parmi ceux-ci, on portera une attention toute particulière aux 21 vitraux de l’église Saint-Pierre, réalisés entre 1887 et 1905, et qui représentent des événements de la bataille de Bouvines. L’ensemble de ces vitraux a coûté cinq fois le prix de l’église elle-même.
